Passe le temps, s’efface ton sourire
l’ardoise a la noirceur de leurs ricanements.
Désespérément ton cœur les toise
Le définitif d’une séparation
obscurément mine ton histoire
En panne, soufflé, contré mais révolté
Tu laisse derrière, tu refoules, tu retiens
cris , larme, rage, tempête et souvenirs
Mais n ‘oublie pas dans ta mesure
d’autres à tes cotés se tiennent
Ils veillent et la joie maintiennent
Passe le temps s’esquisse ton sourire
ardoise à venir s’emplira
De merveilles et de soleil
Même si l’amour est mauvais pour conter l’amitié
Il contre le danger des trahisons et inimitiés.
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