Du débords de ma falaise
S’élance vers toi en étincelle
Un gouffre d’émoi, qui se tortille
Douce douleur avant
L’atrocité de ta chaleur
Se déploient des larmes d’aises
Les sens y sont ribambelles
Mais de ta recherche brillent
Mon calme, est inflammable
Immense plage, froid du sable
De celui là, je m’enchaîne
A mes chevilles se glacent mes rêves
Le réel s’absente un instant
Mais c’est seulement cette vie que je traîne
Et éternellement l’espoir se lève
A l’est de toi, en un continuel battement.
Cette souffrance, cette vitale illusion
C’est la sensation de ton absence
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