Et oui en toute sincérité,
Il est temps d’éclaircir mes cieux de ta personne !
Voilà dégage !! par salubrité de cœur,
Par sincérité je t’éjecte de mes amitiés
Abject, soumis docile…
Je défèque sur ta micro société ! Sur ton étroitesse !
Que tes connaissances soient le puits de ton auto-cid
M’importe autant que ta première branlette !
Ecoute ! ce bruit…
Ne serait ce dans ta tête,
ta kekette qui joue des claquettes ?
La violence m’anime !
Mais toi tu sens le rance,
Tu pues le prédigéré ! Le régurgité !
Le gavé de moralité !
Mais t’as jamais rien pensé…
C’était tellement facile de faire comme si…
T’es pas crédible en critique avisé de mes goûts…
Bien plus en débile servile… ça j’avoue
…tu te l’enfiles à merveille !
Il est grand temps de me respecter !
A quoi bon supporter ton absence de qualité ?
Et en plus sous tes humiliations,
me reprochant un manque d’humilité ?
Plutôt crever sous dix tonnes de merdes
Que respirer parmi la puanteur de tes heures
Emplis de souveraineté méprisante !
D’ailleurs je savoure ton mépris
Je m’en humecte les aisselles
Et en parfume mes diplômes !
Mais je sens que tu frétilles…
Remue la queue en espadrille
Va ! vas-y donne la papatte !
Va falloir penser à la cravate !
Rien jamais n’est acquis, même l’objet de son mépris!
Et il me sied de rappeler que l’on peut douter de mon amitié
Mon orgueil se relève, et va saigner l’irrespect.
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