Je t’écris de très haut
Très prés de ton grain de peau
Ce départ pour de beau
C’est mon quant à foutre
A l’eau
Je te pleurs de si bas
Que mes larmes en remontent là
Ce dénouement en fracas
C’est mon quant à foutre
Ici bas
Je t’embellis de mes rêves
Ecorchée, épanchée jusqu’à la sève
La noyade du chagrin qui ne s‘achève
C’est mon quant à foutre
Qui s’élève
Je vogue d’un ciel en cieux
Trop pressé se dissimulent mes yeux
Ce carnaval silencieux
C’est mon quant à foutre
Au feu
Mon acide se murmure et t’outre
Pour un frisson de foutre
Je n’en ai guère à foutre
C’est mon quant à foutre…
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