Éternellement tienne !
En deux trois mouvements,
Quatre cinq graines de temps,
Ça y’ est le monde m’ est présent !
La princesse a laissé,
(habile prouesse)
Son regarde de poltronne en laisse !
Finit les calmants,
les pansements des abysses destructrices
dans son plus bel apparat voilà…
L’ absurde
Le si présent mon charmant,
Bien à moi…
Comment ai je pu te confondre ?
Le dissoudre, m’ absoudre ?
Oh mon amour, mon unique,
Te voilà de retour ?
Je reconnais ce qui me dévore,
Ton néant reprend possession de moi.
La déception refait ma vie merci.
De ta naissance à ma poussière :
Je te suis due…
Me revoilà seule incomprise…
S’ éloigne amitié et vie promise.
A toi je consacre mon entité,
Mon corps déjà t’a savouré.
Et sa souffrance embellit,
Illustre de mille feux ta jouissance.
Mes pensées résonnent à la recherche
D’ un soupçon d’ altérité !
Fort heureusement l’ humain m’ est trop éloigné.
Quelle folle ai-je été ?
Quelle horrible idée :
Que de s’ accoupler en altérité !!!
Mieux vaut respirer de frustrations et de désillusion…
Et comme enfin plus rien ne s’ interpénètre
Je me défenestre !
Tienne éternellement !
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