La démence de ton allure,
et la grâce de ta silhouette
la nuit m’inquiètent,
De ma légèreté je ne suis plus sûre.
Quand il s’agit de ton être
Je me teinte du mâle-être
Il m’assombrit de cette résignation opaque
qui me pénètre et m’attaque.
Le murmure de ta voix
L’éclat de tes doigts
me frôlent et m’attachent
à ce qui indélébile, me tâche.
J’empeste alors de désespoir
De ton parfum d’un soir.
Tout de toi me plait
de ton image à mon ravage.
Et ce carnage
que tu répands sur ma vie,
Je l’aime aussi.
Détruis moi, s’il te plait.
La seul importance
c’est ta présence.
peu m’importe la souffrance
si tu me désaltère de sens.
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