Tout au bord du crépuscule
A l’aube de ton soir
Un reflet de toi me défait
Tout à s’essouffler de bulles
D’une rosée de désespoir
Un soupir de toi me recrée.
Tout s’espère au lendemain
Et s’évapore de cet hier fourbe
Je m’effleure de ton présent.
Tout s’étreint à ton chemin
Je mêle le mien à tes courbes
Qu’ils s’enlacent éperdument !
electroclite
21 juillet, 2010 à 21:06
Tout reflète ton parfum
Il envahi mes pensées et mes sens alors que
L’olfactive attente s’amenuise